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 Une Yuuki dans le monde de Naruto.

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MessageSujet: Une Yuuki dans le monde de Naruto.   Une Yuuki dans le monde de Naruto. Icon_minitimeDim 12 Juin - 18:41



Yuuki Cross

Une Yuuki dans le monde de Naruto. Th_yuuki3

Une Yuuki dans le monde de Naruto. Th_yuuki8

feat. Vampire Knight
    « L’imagination est infinie. »

    «-- Nom : Cross
    «-- Prénom : Yuuki
    «-- Age : 16 ans.
    «-- Date de naissance : Un 13 mars..
    «-- Le(s) manga d'où vient votre personnage : Vampire Knight.





W H O . A R E . Y O U ??



Physique (5 lignes)


Commençons d’abord par le visage qui, chez une fille, est le plus important. C’est généralement grâce à cela que l’on peut faire la différence entre une fille douce, gentille, craquante ou cruelle. Mes beaux yeux ont parfois quelques reflets rouges au soleil mais leur vraie couleur est le marron. La plupart du temps, ils trahissent mes sentiments et mes émotions. Il est facile de savoir ce que je ressens rien qu’en me regardant dans les yeux. Ceux-ci sont humides ce qui fait que mes larmes coulent plus facilement. D’ailleurs, quelques gouttes ruissellent sur ma peau lorsque j’éclate de rire. Et comme je suis une fille qui aime rire…il est difficile pour moi de contenir ces larmes. Mon visage pâle ne se compose que de traits fins comme mes lèvres qui sont rosées et fines, mes sourcils presque invisibles sous mes mèches rebelles ou encore mon petit nez. Mes pommettes virent au rouge quand je me sens flattée ou lorsque je mens. Je ne porte pas de bijoux à part la paire de boucle d’oreille en forme de coccinelle d’or que ma mère m’a offert à mon sixième anniversaire. Mes cheveux lisses bruns et dégradés sont mi-longs et me tombent presque sur les épaules. Je ne prends pas le temps de me les attacher car j’ai toujours l’impression qu’ils veulent être libres. Et puis, les voir voler au vent me plait bien. A part ça, je suis svelte et de taille normale avec mon mètre soixante. J’ai toujours été quelqu’un de sportive ce qui fait que j’ai plutôt une belle silhouette. Après, il est vrai que je n’ai pas beaucoup de poitrine mais ce n’est pas ce qui me préoccupe. Du moment que j’ai un beau visage et que je vis bien, je ne demande rien d’autre. Et puis, j’ai tout de même les formes qu’il me faut, un peu plus bas. Sur le bras droit, j’ai une petite cicatrice qui se situe près du coude et qui partira seulement dans quelques années. On dit que j’ai les doigts du pianiste parce qu’ils sont longs et fins mais je n’ai jamais joué de cet instrument car cela ne m’intéresse pas.

J’aime les jolies tenues et en général, il m’arrive de porter des jupes quand il fait beau. En revanche, lors des missions, c’est un pantalon comme tout le monde.

Caractère (5 lignes)


J’aime la vie, je la trouve très bien. Elle n’est peut être pas parfaite mais elle me convient. J’ai presque toujours le sourire aux lèvres. Je n’aime pas être triste et quand je le suis, je cherche toujours de l’aide. Contrairement à certaines personnes qui préfèrent garder leurs problèmes pour eux, moi je dis tout à mes amis. Je ne peux pas m’en empêcher parce que je n’arrive jamais à supporter les gros soucis toute seule. Et puis, l’avantage est que ces gens en qui j’ai confiance parviennent à me motiver ou à me réconforter. Je pleure souvent mais pas de tristesse...Juste de rire. D’ailleurs, je ne peux pas imaginer ce que serait la vie si le bonheur et la joyeuseté disparaissaient. Ce sont des éléments très importants pour moi. Quelques fois, j’essaie de consoler en racontant une ou deux blagues. Malheureusement, cela ne fait rire personne sauf moi. J’essaie d’en trouver des bonnes mais soit elles sont connues ou soit elles ne sont pas marrantes. A Konoha, il y a des gens que je n’aime pas vraiment, voire pas du tout. A ceux là, je leur fais subir mes blagues de gamine comme la colle dans les serrures, les bombes à eau ou bien l’encre du stylo plume collée au plafond et qui coule jusqu’au sol. Par contre, je ne fais pas cela à mes amis…ou alors, ces blagues sont moins méchantes. J’ai également une grande passion pour les énigmes et devinettes. Cela fait travailler mon cerveau et mes neurones. D’ailleurs, je préfère réfléchir et discuter calmement plutôt que de combattre. Ce n’est pas que je n’aime pas me battre, c’est juste qu’il est préférable de régler une affaire calmement au lieu de montrer ses griffes. Seulement, il m’arrive d’être lente pour comprendre les énoncés, même quand ils sont simples. Je cherche loin alors que la solution est proche. Au combat, il y a des jours où je fonce dans le tas sans réfléchir et d’autres où j’essaie de réfléchir à un moyen de ne pas trop me blesser, moi et mes camarades. En fait, cela dépend de mon humeur et de l’ennemi qui se présente devant moi. A l’école, mon niveau était plutôt bien même si j’étais quelqu’un d’assez paresseuse. Je sortais souvent la nuit avec des amis. Je suis très fêtarde. J’aime participer aux fiestas même si je reste toute seule. La seule vue des lumières aux multiples couleurs et ces invités qui dansent ne peuvent que me rendre joyeuse. Durant ces évènements, je ne bois pas d’alcool car je suis bien trop jeune d’après ma mère. Et puis, je ne pense pas que mon corps supporterait cela. Ce qui fait que le matin, en cours, j’étais extrêmement fatiguée et je n’écoutais pas ce que les professeurs disaient. D’ailleurs, ces adultes m’horripilaient rapidement en me réveillant avant de me sanctionner. Faire le ménage dans la classe était horrible pour moi. Sinon, j’ai toujours été une élève calme sauf si une punition injuste m’était attribuée. Par ailleurs, j’ai toujours détesté celle qui nous entraînait à la lancée de Kunaï. Elle était si superficielle et n’aimait recevoir que les compliments de la part des autres. Toutefois, je suis quelqu’un de franc et je dis ce que je pense. Si un professeur se montre odieux, je lui donnerais mon avis. Même s’il m’envoie balader, au moins je n’aurais pas hésité à lui parler. Inutile de mentir…je n’en suis pas capable. Je rougis quand je mens, donc je serais trahie. Cependant, je ne peux m’empêcher d’inventer des excuses quand je n’ai pas le choix tout en espérant ne pas rougir. Cela m’arrive éventuellement lorsque je suis en présence d’un garçon que j’aime. C’est très difficile pour moi, car cela ne se contrôle pas. De plus, j’ai une petite faiblesse : on lit facilement en moi comme un livre ouvert. Je ne peux presque rien cacher. Quand je suis triste, on le sait. Dès que je suis malheureuse, on le sait aussi et bien suis être joyeuse ou troublée, cela ce sait. Cela m'a joué des tours parfois...C’est à cause de mon visage si expressif. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, je ne suis pas de nature naïve et je ne me laisse pas manipuler si facilement. Lorsque j’étais petite, c’était le cas mais l’expérience de la vie a changé une partie de mon comportement. Moi, je suis une jeune fille sympathique et ouverte. Je me fais facilement des amis puisque je suis gentille avec les gens. Peut être méfiante avec les inconnus mais sinon, le courant passe bien. Bref, retournons à mes autres traits de caractère. Je suis assez ambitieuse et trop rêveuse. J’ai tendance à m’imaginer un avenir impossible comme celui où je deviendrais, par exemple, ninja d’élite. En plus, jusqu’ici, mes missions se sont plutôt bien déroulées ; je savais me conduire de façon autonome et me débrouiller avec un bout de pain et une petite bouteille d’eau de source dans la journée.



Biographie (10 lignes)

Je suis née un treize mars alors qu’il neigeait. Heureusement que mes parents habitaient près de l’hôpital ce jour là sinon, il aurait été compliqué d’appeler un médecin avec un temps pareil. Ma mère avait eu du mal à accoucher car je ne voulais pas sortir de son ventre. Heureusement que le personnel de l’hôpital était qualifié sinon, il y aurait eu des complications. A ma naissance, je n’avais pas beaucoup de cheveux, juste une toute petite et fine touffe brune ainsi que des yeux ronds marron. J’étais super mignonne d’après mon père et on avait envie de me pincer les joues chaque fois qu’on me voyait. Durant mes périodes de bébé, je pleurais pendant une heure juste après les vaccins que l’on me faisait. Cela me faisait terriblement mal ces injections. Je n’aimais pas tellement manger et mettais trois heures pour avaler trois petites pommes de terre. Ma mère me forçait à finir mes repas plus rapidement puisqu’elle devait travailler et qu’elle voulait s’assurer que je finisse de manger juste avant qu’elle ne quitte la maison. Les fessées, j’en ai reçue pleins mais mes larmes et mes cris faisaient mal au cœur de ma mère. Du coup, elle se calmait et me câlinait comme pour s’excuser. Tout le monde trouvait que je ne mangeais pas assez. Pourtant, j’étais assez joufflue. Ma peau était pâle ce qui fait que mes parents craignaient que je ne sois tombée malade à cause d’une mauvaise alimentation. En fait, c’était juste ma couleur, c’est tout. Le docteur leur a dit que je ne souffrais d’aucune maladie et qu’un jour, je finirais par manger aussi bien et vite que les autres enfants. Quelques mois plus tard, j’avais toujours des rendez-vous pour ces fichus vaccins. Moi, cela me faisait peur, j’avais l’impression qu’on voulait me tuer avec ces choses pointues qu’ils vous enfoncent dans la peau. Ma mère n’avait pas peur, cela lui paraissait normal à ces yeux que je me fasse piquée. Celle-ci s’occupait bien de moi : elle me caressait mes petits cheveux qui avaient poussé, me faisait des bisous sur le bout du nez, sur le front et ne cessait de dire qu’elle m’aimait.

Souvent, mes géniteurs m’emmenaient promener près d’une forêt où ils me montraient ce qu’étaient les champignons, les fleurs, les oiseaux et autres bêtes bien sympathiques. Je comprenais certaines choses qu’ils me disaient mais pas tout. En plus, je ne savais pas bien parler. A dix mois, je ne savais dire que les mots principaux comme « merci », « maman, papa », « bonjour et au revoir ». Bref, je sortais souvent dehors et j’humais l’air frais. Seulement, je tombais malade la plupart du temps : un petit rhume, gastro ou encore une fièvre suivie d’une roséole. A deux ans, je commençais enfin à porter de beaux vêtements. En fait, lorsque j’étais bébé, c’était ma tante qui me fournissait les vieux habits de sa fille qui avait un an de plus que moi. Seulement, elle avait cessé de nous donner ce qu’elle avait parce que ma mère n’en avait plus voulu. Du coup, j’en avais des nouveaux sortis des magasins. Je me souviens du premier vrai jeu qu’on m’avait acheté : un jeu de construction. Je mettais les pièces n’importe comment, le carré dans le rond et le losange dans le rectangle. Un vrai cafouillis ! Mais cela amusait mon entourage qui me regardait entrain d’observer les formes. J’avais aussi une dizaine de peluches en forme de lapin, chat ou encore en souris. Ils m’accompagnaient durant tout mon sommeil. Jusqu’à quatre ans, je portais des couches culottes. Impossible d’avoir un slip avant ces quatre années car ils se mouillaient très rapidement. Il m’était déjà arrivé de faire dans mon lit et ma mère était assez énervée de devoir nettoyer les draps. Mais il n’y avait pas que mes besoins qui étaient sur ces tissus ; des fois je vomissais mon repas quand je ne le trouvais pas à mon goût. D’ailleurs, mon père me demandait souvent ce que je voulais manger. Je répondais : ‘Rien !!’. Du coup, il me nourrissait sans savoir ce que j’aimais. Je mangeais avec les doigts à trois ans car je ne maniais pas très bien le couteau et la fourchette en plastique. Je faisais des bêtises comme faire tomber les longues pâtes au sol. Ma mère, vêtue de son tablier de cuisinière, arrivait derrière moi avec une éponge. Elle faisait mine d’être en colère contre moi mais au fond, elle savait qu’il était normal pour un petit enfant comme moi de commettre ce genre de sottise. Elle me répétait toujours de ne plus refaire ça. Mais moi, je reproduisais la même erreur très souvent.

Au final, elle avait décidé de laisser le temps faire les choses. J’ai également fais d’autres bêtises durant ma vie de gamine. A cinq ans, je me suis introduite dans notre cave où mon grand cousin s’entraînait. Pendant qu’il avait pris sa pause, j’étais parvenue à être en possession d’un de ces Kunaïs. J’ai voulu savoir comment était le sang. On m’avait dit qu’il était rouge mais je voulais vérifier. Je me suis donc blessé le bras, près du coude. J’en ai pleuré et ma tante s’est précipitée sur moi. Elle, en tant que Ninja médecin, a stoppé le sang qui coulait et m’a recousu la partie blessée. Ce qui fait que je m’en suis sortie avec une petite cicatrice pas très visible et située près de mon coude. Ensuite, durant quelques semaines, j’ai eu une peur bleue de ces armes…cela faisait si mal. Les gens qui recevaient cela dans un des organes vitaux devaient encore plus souffrir que moi. On m’a alors interdit l’accès à cette cave et j’ai du me contenter de sortir dans la rue avec ma mère ou mes copines. A six ans et demi, j’ai fais mon entrée à l’académie des Shinobis de Konoha. Le jour de la rentrée, j’ai eu peur et je ne voulais pas lâcher la main de ma mère. Les enseignants m’effrayaient bien que leur visage leur donnait l’air sympathique. Je n’aimais pas tellement les inconnus à cet âge là parce que j’avais peur qu’ils soient méchants avec moi ou bien qu’ils soient en réalité, des monstres déguisés en humain. De plus, je n’osais pas faire le premier pas vers les autres élèves de mon âge. Je craignais d’être rejetée. Cependant, je m’étais faite du souci pour rien. L’ambiance de classe avait été très convenable. Bien sur, il y avait toujours des cancres idiots qui perturbaient le cours mais ils n’étaient pas si méchants que cela. C’est juste qu’ils n’aimaient pas la théorie, seule la pratique les intéressait. Moi, cela dépendait des jours. Le lundi j’écoutais mais le mardi je regardais les nuages par la fenêtre. Un coup, je me faisais enguirlandais et un autre on me félicitait d’avoir trouver les bonnes réponses. Mes notes étaient moyennes…quand je travaillais dur, j’obtenais des notes optimales mais j’avais tendance à me laisser aller à cause d’une flemmardise. Je ne me plongeais pas dans les devoirs, le soir. Non, je rejoignais mes amis et nous nous promenions sous le clair de la lune. Nous comptions le nombre d’étoiles et nous riions à chaque nouveau délire qui nous survenait dans la tête. Le lendemain, malgré un petit déjeuner énergétique, j’étais fatiguée et je dormais, cachée derrière un gros livre. Bizarrement, le professeur savait toujours que lorsqu’un de mes livres était levé, cela signifiait que je ne suivais plus le cours. Il me mettait un petit coup derrière la nuque juste pour me réveiller. Cela ne me plaisait pas beaucoup mais je ne disais rien. La première chose que je percevais était l’expression agacée de son visage. Mais qu’est-ce que cela pouvait bien lui faire que je m’endorme ? Après tout, nous étions quarante élèves dans la même salle. Du moment que environ trente enfants écoutaient ses dires, je ne voyais pas pourquoi je ne pouvais pas sommeiller un peu. En revanche, je ne me suis jamais sentie fatiguée lors des mini examens de préparation. C’était sans doute à cause de la peur d’échouer.

La veille de ces jours si importants, je prenais deux heures de mon temps libre pour répéter mes entraînements qui allaient porter leurs fruits. Ces petites évaluations s’étaient toujours bien passées pour moi et cela étonnait un peu les enseignants qui me trouvaient paresseuse. L’un de ces adultes en a même parlé à mes parents qui ne savaient pas que je sortais secrètement le soir. En fait, je me mettais au lit après leur avoir fait la bise et j’attendais qu’ils se couchent pour aller dehors. Je plaçais mon plus gros nounours à l’intérieur de la couverture pour donner du volume afin de donner l’impression que je n’avais pas quitté mon lit. Finalement, ils ont fini par me punir. Je passais donc mon temps dans ma chambre vu que j’étais privée de l’air pur de l’extérieur. C’est dans cette pièce que j’ai commencé par être passionnée des énigmes et devinettes. Je n’avais rien d’autre à faire à part écrire sur un petit livre rempli d’énigmes. Au début, cela m’était très difficile, moi qui n’aimait pas trop me servir de mon cerveau en cours. Mais au fur et à mesure, je m’en sortais plutôt bien pour trouver les solutions. Et cela a duré un mois, ensuite, j’ai pu sortir de chez moi en dehors des heures scolaires. Je prenais ce livre avec moi pour m’occuper en attendant ma nourrice qui s’occupait de moi durant l’absence de mes parents. Quand ce bouquin était rempli d’écriture, je cessais cette activité et en attendant que mon père m’en rachète un autre, je jouais aux poupées. Ce n’était pas ce que je préférais mais cela m’aidait à passer le temps. Je personnalisais ces jouets et je m’amusais à les habiller de façon aussi mignonne que laide. J’incarnais deux idiotes de princesses et une sorcière laide mais intelligente. Toutefois, au bout d’un certain temps, cela devenait assez lassant ce genre de jeu. J’ai donc décidé de passer à autre chose. Les deux fils de mes voisins étaient espiègle et aimaient piéger les gens. C’est donc grâce à eux que j’appris à créer mes propres blagues idiotes dont les victimes étaient principalement des gens que je n’aimais pas. Comme cette professeur qui nous entraînait au lancée de Kunaïs par exemple. Je lui ai déposé, dans son casier, un parfum à l’apparence mignon mais dont l’odeur était pestilentielle. Bien sur, elle s’est fiée à l’apparence de la fiole et s’était faite avoir. Actuellement, je fais encore ce genre de gamineries…mais moins qu’avant. Cela signifie peut être que je gagne en maturité.

Mes dernières années à l’académie se sont bien déroulées. Plus la fin de l’année finale approchait, plus je devenais nostalgique. J’étais pressée de rejoindre la cour des grands. Je possédais cette hâte de découvrir pleins de choses que je n’ai pu voir étant petite. Mes parents m’offraient beaucoup plus de liberté et j’avais leur confiance presque totale. Il m’arrivait toujours de commettre des sottises, mais je les faisais en toute discrétion. Je devenais, au fil du temps, plus futée et moins naïve. Seulement, j’étais assez prévisible et il était facile de lire en moi. J’ai travaillé énormément les techniques demandées et j’ai réussi l’examen final qui m’avait permis d’obtenir le bandeau des Ninjas de Konoha. Je trouvais que je l’avais bien mérité car j’ai cessé de dormir durant toute la dernière année. Mes professeurs avaient été étonnés de ce changement de comportement si soudain. Ils m'ont félicité et m'ont souhaité de profiter un maximum de ma vie de Kunoichi

Mes parents ont été contents de mes résultats bien qu’ils ne me l’aient pas vraiment montré. En fait, ils ont une grande fierté qui les empêche de me dire ce qu’ils pensent. De toute façon, j’ai bien compris qu’ils étaient fiers de moi.



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    « Pseudo ou Prénom : Lilany
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    « Où as tu trouvé le forum ? : Grâce au fondateur
    « Points Positifs : J’adore le contexte ^^
    « Points Négatifs : Le désign assez simplet ?
    « Commentaire : J’ai hâte de Rp avec vous tous ! Very Happy


Dernière édition par Aëlys le Lun 20 Juin - 14:56, édité 4 fois
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Akira Kaburagi Regendorf

Akira Kaburagi Regendorf


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MessageSujet: Re: Une Yuuki dans le monde de Naruto.   Une Yuuki dans le monde de Naruto. Icon_minitimeVen 8 Juil - 1:02

Yuuki pour ma part je n'ai rien a y redire, faire passer une vampire en ninja est une bonne idée je trouves, cela donne du piment un peu en tout cas bienvenue parmi nous et amuse toi bien Very Happy
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